L’affaire The Wall ou la destruction à l’œuvre…

Rédaction en cours…

La vie associative a de vrais bons côtés, mais parfois aussi surgissent des comportements aussi saugrenus qu’inattendus qui mènent au conflit. Chaque pièce a son revers.

Opaz Atelier, au moment où je publie cette archive, en a déjà connu de nombreux (trop?) malgré sa jeune existance.

Il y a 48h, les membres présents au moment des faits et moi-même, avons tenu réunion pour tenter de faire le point sur ce conflit que j’avais baptisé en son temps “The Wall” et de le clôturer au mieux, après le départ volontaire d’un des protagonistes en Décembre.

Malgré les actions menées par moi dans le cadre de mon mandat, avec le mieux possible de minutie et de procédure, il est ressorti lors de notre réunion, que des doutes quand au déroulement, au fond, à la véracité des faits et même la légitimité de la procédure entamée, demeuraient.

Je ne suis pas certain que la réunion aura permis, outre les arguments donnés, de lever ces doutes pour une bonne partie de l’assemblée.

Nous touchons là à une difficulté réelle quand à la mise en application effective des règles et sanctions à appliquer quand un véritable problème survient dans la vie de l’association et implique 2 membres entre eux, mais  aussi par ricochets, plusieurs cercles d’autres plus ou moins au fait de ce qui se déroule à ce moment là, à cela s’ajoute des étapes étalées dans le temps.

D’un côté il sera demandé de tenter de prendre en charge le conflit en ” petit commité ” pour éviter les dommages collatéraux, mais très vite, il s’avérera que cette voie se trouvera inopérante par blocage soit des parties impliquées dans le conflit, soit de l’instance dirigeante (le BE) elle-même refusant ou craignant d’assumer une procédure circonstanciée écrite.

A l’inverse, au moment où la situation bloquée et en grande tension deviendra à mon sens, dangereuse pour l’intégrité même de l’association, ses statuts se montreront insuffisamment définis pour régler un tel problème par l’instance dirigeante (trésorière et la secrétaire contre président) qui demanderont alors que l’ensemble des membres puissent statuer, alors que pendant toutes les étapes et mois écoulées, il avait été justement demandé de les tenir à l’écart !!!. Comment donc leur demander de juger après des mois sans les éléments permettant d’étayer un avis ?

Je décidais donc de porter à la connaissance de tous au moins les éléments factuels (échanges écrits et historique des échanges ; e-mails) pour que chacun puisse au moins prendre connaissance de la problématique et ainsi tenter tant que faire ce peut, de réduire le phénomène de clan qui ne manque jamais de s’établir dans les groupements humains quand des conflits éclatent. Ce qui se produira néanmoins.

[…] partie en rédaction en cours… à développer…[…]


L’idée de cet article n’est pas de refaire le match, le mise en cause étant maintenant parti, mais bien d’ordre informatif, tout en appelant ce que ça intéresse à la réflexion. Pour les suivants qu’ils soient simples Membre de l’association ou en charge de la direction de cette dernière, la possibilité de se replonger si nécessaire dans un “précédent”, bien que fâcheux n’en demeure pas moins possible de nouveau.

Et pour le présent pour moi, bien que ne prétendant pas avoir non plus épuisé toutes les possibilités peut-être existantes pour dénouer un tel conflit, démontrer au moins par l’exemple m’être au moins investi au mieux dans ma fonction de président et par le déclenchement d’une procédure écrite (qui laisse donc des traces tangibles) et après maintes consultations en interne comme en externe, l’avoir fait avec avec les groupe à l’esprit.

Sans que cela ne soit pourtant légale, il semble qu’il soit de coutume dans les organisations associatives de flanquer au président toutes sortes de responsabilités et charges quotidiennes et morales, tout en lui dénigrant le pouvoir de trancher les conflits, surtout quand ils sont importants. Ca ne va pas !, Chaque pièce a son revers et doit l’avoir, sinon ce n’est pas une pièce.

On ne peut pas être en même temps dehors et dedans non plus.

Finalement de ce “cas d’école” je trouve,  déborde bien des problématiques quand à la démocratie, la vie associative, les mixités et le leadership qui rappelons le pour nous chez Opaz Atelier s’acquière par mandat voté à la majorité.

A suivre donc…

Ci-dessous la controversée procédure , les dates sont importantes pour le déroulé:

a) L’avertissement (2 pages) sans photos, possibilité de s’expliquer, Juillet 2019 :

Par les statuts, les admissions et les expulsions sont à la prérogative du BE, sans plus de précision. On peut se demander en quoi un trésorier aurait, hors problématiques financières ; recouvrement de cotisations par exemple, une quelconque compétence particulière pour statuer.

Il s’avèrera donc que la trésorière s’opposera à l’envoi d’un courrier d’avertissement au responsable de la dégradation. Un courrier n’est qu’un courrier mais il fait acte, Ne pouvant présager des suites à ce moment là, il devra permettre en cas d’envenimement de la situation de se reporter à un historique. en qualité de président, j’estimerai que cette tentative d’obstruction visant à noyer le poisson ou à protéger quelque intérêt particulier, se retournerait plus tard, puisque déjà incompréhensible à ce stade (il y a eu acte de malveillance, comportements agressifs à l’endroit de plusieurs membres, refus de s’expliquer etc… ) , je prendrais la responsabilité évidente de passer outre cette tentative de refus et évidemment envoyer ce courrier qui pour l’heure aurait pu être sans frais puisque communiqué par e-mail et par voie du secrétariat.

Il s’avèrera aussi que se servant de sa prérogative d’information des membres de l’association et ici du principal (nous en sommes encore à tenter de “régler” le problème en petit comité pour l’heure), la secrétaire ajoutera à l’objet de mon courrier une appréciation personnelle et hors propos du type “je me désolidarise de la demande de notre président de vous envoyer le courrier ci-joint…”

Il s’avérera enfin, à cette occasion aussi, que le registre des membres de l’association n’était pas à jour et que l’adresse postale du contre-venant n’était pas connu par l’association. Je serai une fois de plus le seul à remonter ce manque à l’intéressé qui refusera de nous la communiquer, et aussi au secrétariat qui n’entamera aucune démarche corrective sur ce point. A quoi sert donc un poste de secrétaire ?

avertissementJamesKarlCoralieNabilJuillet2020

b) Les mises en demeure… novembre 2019 (16 pages) avec cette fois photos.

Opaz-AvertissementProcedure-DisciplinaireFinal